Décisions des juridictions administ. depuis leur création

déclare le recours non fondé pour le surplus et en déboute ;

Il serait pareillement établi que des Soudanais déboutés de leur demande de protection internationale et refoulés de force vers leur pays d’origine auraient par le passé subi de la part des autorités soudanaises des tortures ou d’autres formes de traitements inhumains et dégradants, le demandeur renvoyant, à cet égard, à un article de presse intitulé « des

Depuis lors il aurait séjourné en France, puis en Allemagne pendant successivement une période de deux ans, durant laquelle il aurait été pris en charge médicalement en sa qualité de demandeur de protection internationale et ce jusqu’au débouté de sa demande de protection internationale, moment où il aurait dû quitter respectivement la France et l’Allemagne.

au fond, le déclare non justifié, partant en déboute ;

quant au fond, déclare le recours en réformation non justifié, partant en déboute ;

au fond, le déclare non justifié, partant en déboute ;

introduisit auprès du ministère de la Justice une demande en obtention du statut de réfugié, dont il fut définitivement débouté par un arrêt de la Cour administrative du 16 mars 2004, inscrit sous le numéro 17653C du rôle.au fond, le déclare non justifié, partant en déboute ;

au fond, déclare ledit recours en réformation non justifié et en déboute ;au fond le dit non justifié et en déboute ;

institution d’une mesure de sauvegarde, consistant en substance en l’institution d’un sursis à exécution par rapport à la décision ministérielle de transfert en Allemagne jusqu’au jour où le tribunal aura statué sur le mérite de son recours au fond, demande dont il fut débouté par une ordonnance du 2 septembre 2020.Le tribunal relève encore que le demandeur

au fond, déclare le recours non justifié, partant en déboute ;au fond, déclare le recours non justifié, partant en déboute ;

Si le président de chambre ou le juge qui le remplace estime que le recours est manifestement infondé, il déboute le demandeur de sa demande de protection internationale.Il suit de l’ensemble des considérations qui précèdent que le recours sous examen est à déclarer manifestement infondé et que Monsieur ... est à débouter de sa demande de protection

au fond, le déclare non justifié, partant en déboute ;

au fond le déclare non justifié, partant en déboute ;au fond le déclare non justifié, partant en déboute ;

au fond, déclare le recours non fondé et en déboute ;au fond, le déclare non fondé et en déboute ;

au fond, le déclare non justifié et, partant, en déboute ;

au fond, le déclare non justifié, partant en déboute ;au fond, le déclare non justifié, partant en déboute ;

au fond, le déclare non justifié, partant en déboute ;au fond, le déclare non justifié, partant en déboute ;

Ensuite, il y a lieu de relever qu’il se dégage de l’alinéa 2 de l’article 35, paragraphe (2), de la loi du 18 décembre 2015, qui dispose que « Si le président de chambre ou le juge qui le remplace estime que le recours est manifestement infondé, il déboute le demandeur de sa demande de protection internationale.Il s’ensuit que le demandeur est à débouter de

au fond, le dit non justifié et en déboute ;au fond le dit non justifié et en déboute ;

au fond, déclare ledit recours en réformation non justifié et en déboute ;au fond le dit non justifié et en déboute ;