Décisions des juridictions administ. depuis leur création

condamne l’appelant aux frais et dépens de l’instance d’appel.

condamne le demandeur aux frais.

condamne l’appelant aux dépens de l’instance d’appel.

la Cour, statuant contradictoirement, sur le rapport de la présidente, reçoit l’acte d’appel du 7 mars 2005 en la forme, déclare le recours en réformation irrecevable, dit le recours en annulation non fondé et en déboute, partant, confirme le jugement du 7 février 2005, condamne l’appelant aux dépens de l’instance d’appel.

Le demandeur entend ensuite voir son placement considéré dans le contexte global de sa détention préventive et il expose qu’il se serait trouvé en détention préventive depuis le 23 septembre 2004 et qu’il aurait été condamné par jugements rendus les 13 janvier et 10 février 2005 par le Tribunal d’arrondissement de Diekirch à des peines d’emprisonnement dele

condamne le demandeur aux frais.

condamne l’Etat aux frais .

condamne l’Etat aux frais.

condamne le demandeur aux frais.

condamne l’Etat du Grand-Duché de Luxembourg aux frais.

condamne le demandeur aux frais.

condamne le demandeur aux frais ;

condamne les demandeurs aux frais.

condamne le demandeur aux frais.

condamne le demandeur aux frais Ainsi jugé par et prononcé à l’audience publique du 23 mars 2005 : M. Delaporte, premier vice-président, Mme Lenert, premier juge, Mme Thomé, juge,

Par courrier du 8 septembre 2004, le ministre des Transports, ci-après « le ministre », informa Monsieur ... de ce qu'en vertu d'un jugement du tribunal correctionnel de Diekirch du 15 juillet 2004, devenu irrévocable le 26 août 2004, l'ayant condamné à une peine correctionnelle pour avoir circulé en présentant des signes manifestes d'ivresse ainsi que pour

condamne l’Etat du Grand-Duché de Luxembourg aux frais.

condamne les demandeurs aux frais .

condamne la partie demanderesse aux frais.

Il résulte à ce sujet des pièces versées au dossier que le demandeur a été condamné par jugement du tribunal correctionnel de et à Luxembourg du 15 juillet 2004 à une peine d’emprisonnement de 6 mois du chef de faux et usage de faux, le demandeur ayant été reconnu coupable d’avoir utilisé une carte falsifiée de résident français.Par ailleurs, par jugement du