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Finalement, il affirme que les dommages et intérêts lui alloués par le tribunal arbitral ne sauraient être qualifiés d’aide d’Etat et renvoie notamment à l’arrêt Asteris c/ Grèce n° 106/87 du 27 septembre 1988 de la CJUE.
- Juridiction : CSJ/07. Chambre référé